La directrice de la galerie Anne Kelly parle avec Brad Wilson de son travail de Affinité, qui est actuellement visible à la fois numériquement et en personne à la galerie photo-eye dans le cadre de L’Autre Monde! Obtenez le scoop sur le processus de photographie de ces beaux animaux et écoutez les réflexions de Brad sur l’édition de livres.
Cette semaine, la galerie photo-eye est ravie de présenter une toute nouvelle conversation photo-oeil entre la directrice de la galerie Anne Kelly et l’artiste représenté Brad Wilson!
Nous avons eu la chance d’accueillir une belle gamme d’impressions de Brad Wilson Affinité série dans la galerie depuis deux mois dans le cadre de son exposition, L’Autre Monde. Cette exposition accompagne une livre du même nom cela a été publié par Damiani Press en 2021.
Affinité est un travail en cours depuis plus d’une décennie et qui a toujours eu pour objectif de communiquer l’individualité des animaux que Wilson photographie. Ces portraits ne sont pas des photographies animalières « standard », et c’est pour une raison! Ils sont photographiés à une résolution plus élevée qu’un œil humain ne peut le voir, capturant chaque détail de ces créatures. Cela fournit une quantité de détails incroyables qui permet au spectateur de se sentir plus proche des sujets animaux de Brad Wilson que jamais dans la vie réelle. Le exposition en ligne de L’Autre Monde, construit avec VisualServer X, offre l’occasion d’un regard encore plus attentif car il permet au public de zoomer.
Pour moi, il s’agit de donner au spectateur l’expérience que vous n’allez pas regarder un animal dans un paysage quelque part, que vous n’allez pas avoir dans un zoo. Pouvoir être aussi proche vous donne un sentiment d’intimité et de connexion que je trouve très puissant. C’est pourquoi je voulais que ce soit aussi détaillé que possible.
Jean-Pierre
Écoutez le conversation photo-oeil ci-dessous, et continuez à faire défiler les images de Affinité!
Une partie du défi de cette série est que vous devez regarder au-delà de la beauté [de ces animaux], à quel point ils sont visuellement convaincants, car il doit y avoir autre chose dans la photographie, un autre niveau de connexion. C’est ce que je cherchais… des moments où ils se sont calmés, où ils ont l’air plus introspectifs, et c’est ce qui me convainc.
Jean-Pierre
Le propriétaire du sanctuaire a dit que [le mandrill] ne connaissait qu’un seul tour, alors j’ai dit « Qu’est-ce que c’est? »et le propriétaire a dit: « Ne vous tuez pas. »
En ce qui concerne les tours, c’est plutôt bien, mais [le mandrill] avait juste besoin de savoir où il se classait, puis il pouvait se détendre.Jean-Pierre